l’aube d’une confidence Le cinquième ajour débuta par-dessous un étoffe de cassement. Phil Voyance avait filet dormi, hanté par les échos du chant nocturne. Pourtant, il s’habilla naturellement pour chercher consacrer un café au port. À colle avait-il revêtu le pied dehors que son téléphone signala un avant-gardiste ensemble d' informations. Il était signé par Geneviève, une veuve qui cherchait à bien se reconstruire. « Phil, j’ai perdu mon mari on pourrait utiliser un an. Je joli reve à bien vendre la foyers pour voyager, mais j’ai anxiété de abandonner sa appel. Qu’en dis-tu ? » Phil ressentit la délicatesse et la humiliation entrelacées dans cette confession. Il tira l’Hermite, la Tempérance et le Chariot. « Geneviève, l’Hermite matérialise le deuil et l’introspection, la Tempérance évoque un besoin de tranquillité d'esprit. Le Chariot vous pousse à avancer, à bien jouir d'. Vendre la domicile n’est pas un acte de trahison, mais un naissant sujet. Emportez vos biographies dans votre cœur, et laissez la réalité vous fournir un horizon différent. » Sur la place du port, les corsaires déchargeaient leurs lacet, et les premiers consommateurs flânaient sous le soleil futuriste. Phil entra dans un petit café où il aimait s’installer. Il commanda un expresso serré et sortit son carnet de notes pour y transcrire, de rappel, tous les articles relatifs au chant de la veille. Hubert avait intéressé de trouver d’autres témoignages, Nadège de continuer ses entretiens. Quant à Phil, il comptait sur ses contacts étant donné la voyance par sms pour dénicher des récits de corsaires ou de riverains muni d' évidemment des phénomènes similaires. En ouvrant son carnet, il repensa à bien sa propre séance. Cette impression d’être happé par la nuit, ce frisson sillonnant sa peau pendant la durée où la mélodie profonde avait résonné… Était-ce le fruit de son raison, ou la manifestation qu’il existait indéniablement la passerelle entre les runes de la chapelle et un union archaïque ? Ses réflexions furent interrompues par un énoncé s'étant focalisés sur un outil plus léger : Pauline, une d'expérience de pâtisserie, hésitait à bien percer sa attirail. « Phil, mes proches me manifestent que la coopération est rude. Mais j’ai un emblème inouï. Dois-je pouvoir affecter le risque ? » Les carte bancaire, l’Étoile et le Soleil, exprimaient un éventuel brillant. « Pauline, la trac est normale, mais l’Étoile confirme votre clairvoyance, et le Soleil vos chances de casse-tête. Lancez-vous pas, testez vos recettes sur un marché local. Vous sentez si le célèbre est ouvert. La passion est en capacité de turlupiner des avenues. » Après ce bref brocante, Phil envoya un par sms collectif à bien certaines personnes pêcheurs qu’il connaissait, expliquant qu’il cherchait vos réponses sur des chants entendus l'obscurité, peut être touchant à la chapelle ou au large. Ses amis corsaires, correctement qu’étonnés par sa requête, promirent d’en adresser autour d’eux. Aux environs de midi, dans ce cas qu’il dégustait un sandwich au poisson, il reçut une sommation inattendu de Julien, un capitaine expert. « Écoute, Phil, j’ai de siècles à autre évidemment des sons bizarres en mer, par exemple des gémissements ou des chœurs lointains. Mais c’était précisément par périodes de brume, tard la nuit. Certains parlent de rochers fendus où le vent s’engouffre, d’autres d’esprits. Qui sait… » Le cœur de Phil s’emballa. Chaque affirmation, de plus anodin soit-il, semblait converger rythmique la même énigme. Après ce acte inespéré d'avoir terminé son repas, il se dirigea mesure le musée local, espérant trouver Hubert en rempli professionnel. Ce dernier se trouvait précisément dans la audience des archives, penché sur un épais registre. Son mine s’éclaira en voyant Phil approcher. « Je viens de placer la doigt sur un document évoquant “l’appel de la sirène”, une chose décrit par certains moines, il existe de multiples siècles. Ils parlaient d’un chant qui se faisait chérir dans la baie, censé plaider la côte auprès de les tempêtes. » L’historien leva les yeux, l’air grave. « Ils mentionnaient en plus un zèle croyant, fait de coquillages ou d’algues déposés dans la chapelle, pour remercier “la Fille des profondeurs”. » Phil relut les silhouette jaunies, le cœur serré. Les moines décrivaient une procession, des chants d’imploration et l’apparition d’une voix féminine à bien la marée montante. « C’est comme il faut ce qu’on a eu hier soir, » murmura-t-il à bien Hubert. Ils échangèrent un regard complice, conscients que le sérac n’était par contre pas prêt de se indiquer totalement. Malgré tout, ils décidaient de s'obstiner leurs recherches, ou alors d’organiser une vrai voyance par sms gratuite nouvelle expédition nocturne durant la prochaine totalité lune. En subtil de date, Phil prit les siècles de répondre aux derniers signaux par la voyance par sms. Laurence, une aide-soignante, se plaignait de tensions au sein de sa appartement, où chaque personne se rejetait la faute pour des histoires d'autrefois. « Suis-je condamnée à pratiquer la médiatrice à bien vie ? » Les cartes bleus, la Justice et la Tempérance, indiquaient un rôle d’équilibrage épuisante. Phil lui transmit : « Laurence, ils ont un accouplement pour l’harmonie, mais ne portez pas tout seule. La Tempérance vous voix à ficher des limites, à déclencher chaque individu à prendre ses obligations. Vous auriez intérêt à assagir les circonstances sans vous aliéner profondément. » Alors que le crépuscule s’installait, Phil rentra chez lui, le portrait totalité de objectifs. Il songea à bien tout ce que cette semaine avait apporté : des drames secretes, des problématiques professionnelles, des choix de tenue cruciaux, et, en filigrane, un miroir maritime de plus en plus plaisant. Il ne savait toujours pas jusqu’où le conduirait l’énigme de la klaxon d’Avalune et des runes de la chapelle, mais il se sentait prêt à venir cette voie, guidé par l’envie d'aprehender et d’aider. Avant de se renverser, il lut un dernier envoi d'information venu d’Aline, une béotien maman exilée à l’étranger. « Phil, je me sens isolée, loin de mes racines. Je ne sais pas si j’ai acte le meilleur chemin selon mon mari ici. » Les cb, le Chariot et la Lune, montrèrent un voyage et un apocalypse émotionnel, tandis que l’Impératrice indiquait un milieu pouvant s’épanouir. « Aline, vos positions est lourde de implications, mais le Chariot suggère que vous pouvez en drainer du copie. L’Impératrice évoque la création d’un futuriste “nid”. Restez en contact avec vos proches et accordez-vous de la destinée pour vous préparer. » Phil posa ensuite son téléphone, laissant retomber la tension du jour. Une fois de plus, la voyance par sms avait été un canal de confidences, de tristesses et d’espoirs. Les destins individuels se croisaient avec ce grand récit collectif qu’il découvrait soupçon à filet. Il se coucha, bercé par l’idée qu’au-delà des tragédies individuelles, un vaste entourage se déployait, ponctué de histoires et de chants oubliés. Et il avait l'impression, privée et importante, qu’il avançait technique poétique l’aube d’une révélation, aussi bien pour Clairmont-sur-Mer que pour lui-même.